La vie sans mort

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« Pour que tout soit transformé, c’est encore un travail colossal. Mais quand on est ce que l’on pourrait appeler de « l’autre côté » (ce ne sont pas des « côtés »), mais dans l’autre état, cela paraît si naturel, si simple que l’on se demande pourquoi ce n’est pas comme cela, pourquoi ça paraît si difficile ? Et puis, dès que l’on est de l’autre côté, c’est … le mélange est encore là, c’est incontestable.

Vraiment, l’état ordinaire, le vieil état, c’est consciemment (c’est à dire que c’est une perception consciente), c’est la mot et la souffrance. Et puis dans l’autre état, la mort et la souffrance paraissent des choses absolument … irréelles. »

Mère

 

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